SUD / SUR ( dialogues del´imaginaire ). Peintures de Sebastian Boesmi

Sebastián Boesmi

1980. Salta, Argentine.

Expositions individuelles

Janvier 2010 “Sans saisons”. Salle Borges du Centre Culturel Borges. Buenos Aires, Argentine. Critiques: Carlos Colombino, Carlos Sosa.

Octobre 2009 “Peintures récentes”. Galerie Larissa Gimenez. Assomption, Paraguay.

Septembre 2009 “Avatars de la forme”. Galerie Casa Mayor. Assomption, Paraguay.

Septembre 2008 “Peintures récentes”. Collection d’Art Veronica Torres. Assomption, Paraguay.

Août 2008 “Le contenu de la ligne”. Galerie Larissa Gimenez. Assomption, Paraguay.

Septembre 2007 “Campo Protelco”. Galerie Casa Mayor. Assomption, Paraguay.

Prix

2008 Premier Prix. Prix Henri Matisse. Ambassade de France et Alliance Française. L’artiste réalisera un voyage d’études Paris en février 2010.

2008 Premier Prix. L’art d’offrir. Agence Publicitaire Nasta.

2007 Première Mention. Prix Henri Matisse.

2006 Second Prix. Concours de Peinture Veuve Clicquot Ponsardin.

2006 Second Prix. Concours de peinture du Centre Culturel Paraguayo-Américain.

2004 Second Prix. Art Jeune Baviera.

Études

2008 Licence d’arts visuels. Université Nationale d’Assomption.

2007 Peinture et Design. Yhe Arts Students League of New York. New York, USA.

2006 Art digi tal. École Da Vinci. Buenos Aires, Argentine.

2004/2008 Xylographie, Gravure sur métal et méthacrylate. Centre d’Etudes Brésiliennes. Assomption, Paraguay.

2003 Diplômé en Culture Paraguayenne. Université Américaine. Assomption, Paraguay.

1999/2001 Études d’Architecture. Université Américaine.

L’artiste a participé des expositions collectives depuis 2000. Collections privées Asunción, Buenos Aires, Mexico, USA, Colombie, Italie, Suisse. Ses œuvres sont exposées au Centre Culturel Borges de Buenos Aires, Collection d’Art Veronica Torres Galerie Exaedro, Galerie Matices, Galerie Larissa Gimenez, Galerie Casa Mayor Assomption

A voir pour la deuxième fois l’œuvre de Boesmi, je réaffirme ce que j’ai déj écrit l’occasion de son exposition la Galerie Casa Mayor ( As. Py, sept, 2009), et ajoute que dans ce cas les propositions s’ouvrent un texte varié, dépassent les travaux antérieurs, citent les différentes raisons que son obsession lui impose pour les révéler ensuite, les dédessinant et les lançant dans un espace de mouvement multidirectionnel. Dans son univers en expansion flottent ses souvenirs, ses scènes inventées, c’est un récit qui revient sur lui-même en délattant le délire incessant. Je croyais qu’il s’agissait d’un geste ingénu, mais n’avais pas perçu qu’il s’agit en fait d’une façon de cacher. De garder pour soi le texte complet.

Carlos Colombino, Décembre 2009