Mobile Art

Après avoir utilisé le laser, le water-jet et l’informatique pour la sculpture, elle a revisité la peinture, fondant ainsi le « Flash Art », qui se revendique paradoxalement d’une filiation avec l’art chinois ancien des hexagrammes. Pionnière de l’ « estampage numérique », selon la formule du critique et historien d’art Gérard Xuriguera, Dominique de Séguin se réfère aux grands idéaux de l’humanité, la technique (smartphone) permettant de décoder les messages contenus dans ses toiles.

Par son propos résolument novateur, par sa quête du sens, par son perfectionnisme, Dominique de Séguin entre en résonance avec la philosophie qui sous-tend l’action culturelle de la Ville de Meudon, au service de l’authenticité, de la qualité et de la création.

Lieu d’exigence et d’innovation en matière de spectacle vivant, le Centre d’art et de culture de Meudon semblait prédisposé accueillir une présentation du travail initiatique qui a conduit Dominique de Séguin des arts traditionnels l’art digital, au gré d’expositions remarquées en France et l’étranger.