Mireille Loup [Anaglyph]

Mireille Loup [Anaglyph]

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La Galerie Voies Off présente l’exposition de Mireille Loup, [ANAGLYPH], à l’occasion de la sortie du livre aux éditions Images Plurielles.

4 MARS > 9 AVRIL 2017 :: lundi – vendredi 10h-12h, 14h-18h.
GALERIE VOIES OFF :: 26 ter rue Raspail, Arles

[ANAGLYPH] ::

«Dès l’invention de la photographie, des techniques de 3D ont été développées. Bien avant le cinéma, il y eut la stéréoscopie inventée en 1838 par Charles Wheatstone et la technique anaglyphe élaborée par Ducos du Hauron en 1891. Malgré le discours dominant, la réalité virtuelle n’est donc pas nouvelle.
La grande majorité l’a oublié et Mireille Loup réactive cette mémoire en réintroduisant cette technique photographique dans un travail contemporain. Ainsi, elle rend hommage à ces ancêtres de la photographie et ajoute sa contribution à ce rêve-là.

Invitée par le Conseil Général de l’Oise à se réapproprier les stéréoscopies de Charles Commessy (1856-1941) conservées aux Archives Départementales de l’Oise, Mireille Loup revisite, relit l’art du photographe et cette technologie avec des moyens actuels. En reprenant volontairement la technique anaglyphe, aussi ancienne, archaïque, qui a un côté vieillot, elle tente de nous faire prendre conscience qu’on n’atteindra jamais un double parfait du monde.»
Extrait du texte de Nicolas Mavrikakis, «LÀ»

Invitée de nouveau, par le Musée de la Camargue cette fois, Mireille Loup réitère l’expérience avec 5 personnalités emblématiques.

“Les fous du Rhône sont passionnés par la violence du fleuve, sa lumière et ses tragédies. Certains fouillent, cherchent, creusent pour comprendre et écrire son histoire. Ils repèrent ses déplacements au fil des siècles, les traces qu’il a laissées dans le sol et les paysages, les sites archéologiques, les épaves, les objets antiques roulés dans la vase. D’autres sont simplement attachés au Rhône, par une histoire qui les a amenés là, où ils ont choisi de rester pour voir vivre le fleuve au quotidien, surveiller ses frémissements, comme envoutés par sa présence.” Estelle Rouquette, conservatrice du Musée de la Camargue.

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