“Au fil de la mémoire”

>peintures<

"Pour instruire son vocabulaire, il agit donc généralement en géometre davantage qu’en romantique, en ce que son cycle de structures citadines frontales se nourrit des signes de l’alphabet construit, mais hors de la moindre sécheresse, car les tonalites délicates de son chromatisme, chantent ici au diapason de la fiére immobilité de ses édefices urbains. Une insinuante poésie architecturale, comme le remarquait Appollinaire à propos d’une toile de Chirico, enveloppe alors sous une luminosité étale, ses agrégats de façades compartimentées aux toits angulaires, dont la liasion est assurée par des quadrillages linéaires sinon des réseaux graphiques constituées de réctangles, de carrés, de triangles, de cônes, parfois d’une mini-sphère solaire ou lunaire, où se mirent des fragments de ciel azuré.

Néanmoins, le peintre de Fougères ne fait pas seulement main basse sur la ville, pour piller Francesco Rosi, ou la campagne, mais doté d’un clavier stylistique varié, il ajoute à sa panoplie picturale…

« Ce que propose Marc Raymond, c'est une éthique de l’équilibre et de l’harmonie, à partir d'une expérience du sensible très surveillée, qui porte le réel aux confins de son affirmation…" Gérard Xurigura

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