
MAÏLA GRACIA et TINA RONDINI
- Du 05/05/2014 au 17/05/2014
- Localisation : Galerie du Tableau
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On s’attendait un coureur de masques, le genre qui parle en plâtre et en fissures, qui supporte peine l’idée qui le traverse.
Vautré dans ses plaines ses bosses, odieux en plein et en creux. En fait ce n’est qu’un tas de trous. Chargés de poussières, mais quelles poussières. La face du masque, on la connaît assez bien. Ce qu’elle crée d’ambiguïté, ce qu’elle noue dans le réseau des formes, ce qu’elle éclipse de celui qui est en-dessous. Mais pas d’endroit sans envers, et passer de l’autre côté du masque rappelle le regard qui supporte tout cela, l’humain qui sue l -dessous. Que ce soit dans le bois sombre pour Tina Rondini ou le plâtre éclairé pour Maïla Gracia, les masques aussi ont une face cachée.