Exposition s’interrogeant sur la dimension des territoires du tissu urbain, ceux de la ville comme Objet et ceux du réseau, des interconnexions lumineuses et sonores, du passage et du déplacement dans l’espace. Comme en écho à Mallarmé avançant que rien n’aura eu lieu que le lieu….si ce n’est peut-être une constellation. Pour le poète : l’écriture, pour nous : la cité, ses ramifications, sa mémoires, ses traces, ses engagements, sa présence autant que son absence. Dans les deux situations, le déploiement d’une typo-graphie ouvrant sur notre troisième volet du cycle d’expositions L’Art et ses Objet(s) : L’Urbain.