Peintes, dessinées sur la toile, collées sur le bois ou le papier, pur esprit ou porcelaine, parfois en noir et blanc mais toujours hautes
en couleur, ce sont de « drôles de dames ». Tendres ou provocatrices, elles forment une galerie de demoiselles et d’icônes iconoclastes où Marianne Mazel et Marie Delarue confrontent leurs mondes, leur sensibilité.

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