“La Famille à l’hermine”.
Acrylique sur toile 60 x 60cm. Feu Thierry Gruas. 1962-2017.

“The Family with an ermine”. Acrylic on canvas 60 x 60cm. Late Thierry Gruas. 1962-2017. ENG see down.

On http://SaintEtienne.Art ou Gruas.fr et Gagalerie.Art. Extrait:

D’abord quel est le meilleur vœux de cette famille en têtes?

Pour ce grand jour J, je vous invite à dire au revoir à l’année avec “La Famille à l’hermine” et la retrouver illico presto en écoutant ses meilleurs voeux. La famille à l’hermine noue crie en choeur: “meilleurs vœux de Santé, Bonheur, et Prospérité.” Elle nous chuchote: “Que l’année 2023 vous donne à réaliser, selon vos espérances, ce que vous désirez, tant pour vous que pour vos proches ‘haismés’.”

Rituels bienvenus qui nous innondent tous sur la toile blablabla, blancblancblanc…

Quelques réflexions sérieuses à jeun!

Quelle est la signification de cette scène fabuleuse de “La famille à l’hermine” ? Le tableau représente-t-il une réalité observée, un songe ou bien une réalité repensée?

La famille est la vraie cible de ce tableau quasi noir et blanc, ou est-ce l’hermine? Au-delà de la dénonciation des nombreux coupables, le créateur met la famille sur le grill de manière plus ou moins précise ou refoulée. La famille pour ce jour J est le point J hypersensible de toute une vie, le lieu des passions, des bonheurs, des angoisses et des refoulements. Ma maison de famille à “cette famille de fous, à «cette famille de conformistes qui m’a rendu fou, prisonnier du regard des autres.».

Extraordinaire portrait prémonitoire de la famille Neige. Portrait peint par feu Thierry Gruas “Ôde à la Famille après ma mort” ou portrait psychologique, polémique et satirique ou pourquoi pas simplement une preuve d’amour désespérée? Au choix.

Cette ôde à la famille ne célébre pas à la première approche des sentiments intimes et passionnés, point d’enthousiasme, d’amour ou de joie sur les boules têtes de neige lisses, mais cherche à rendre compte de la personnalité du feu créateur. Ne serait-ce pas plutôt une peinture du mal? du mal-être du feu créateur, le sceau du spleen gruassique?

Ce portrait de groupe blanc ‘haismé’ idéalisé répond en cela aux attentes de lui-même, commanditaire en quête de représentation officielle post-mortem. Le feu créateur cherche à laisser à la prospérité l’image pas seulement de son isolement familial, économique et social, mais de son isolement affectif. L’incompris accomplit son suicide prémédité depuis des décennies. Point d’échec, point de réussite, in-fine, tout est enneigé. Le blanc , partout, il dit la pureté et l’innoncence. Le feu créateur s’attache à transmettre les qualités psychologiques de sa personne juste avant son départ, pas celle de sa famille songée.

Son portrait de famille Neige devient un prétexte, un moyen comme un autre de déterminer l’attitude du peintre non seulement vis-à-vis du monde réel, de la société et de l’art, mais de son choix de vie, de son intimité, de son spleen. C’est que la photographie permet dorénavant d’enregistrer une image fidèle du sujet et à contrario bouleverse profondément l’art de la figuration. Cette “Famille à l’hermine” n’est pas une photographie.

Au milieu du XIXe siècle, la grande bourgeoisie, à la fois actrice et bénéficiaire de la révolution industrielle, cherche à laisser à la postérité l’image de sa réussite économique et sociale. Au moment où la photographie n’est qu’une technique et un art naissants, le portrait de famille est particulièrement en vogue dans la peinture et n’échappe pas alors à l’assaut de la modernité.

Justement, “la Famille à l’hermine” rompt avec l’illustration traditionnelle de la famille bourgeoise triomphante où l’artiste s’attache à en reproduire ou à en interpréter les traits et expressions caractéristiques, où il peut questionner le rôle de l’image et de la représentation, où il peut rendre les traits physiques du modèle de la famille, témoigner de son appartenance sociale et de sa réussite.

Point de tout cela. Pour évoquer son drame, sa place chaotique dans sa famille, résumer sa vie tumultueuse d’artiste de doutes, par l’expression géniale de cette opposition anti-famille, ce tableau audacieux, au sujet d’apparence simple, devient chef-d’œuvre des années de fin de vie du rebelle feu Gruas.

Feu Gruas montre toute l’étendue de son talent, notamment dans l’absence des vêtements portés par les personnages dépouillés, trois sont bonhommesdeneige ou enfantdeneige nus, tous blancs neige. La définition des formes rondes se voulant têtes est source de la lumière, astres qui éclairent le tableau noir.

Loin des couleurs vives, des tissus précieux et des dentelles de ceux représentés dans les portraits raffinés de citadins, les personnages sont traités mis à nus dans le blanc et le noir, restituent parfaitement la condition psychologique, la simplicité et la solidité du défunt créateur enneigé.

Les visages ronds blancs de tous les personnages enfants aux plus âgés évoqués, la petite taille pour les enfants, la canne pour pépé assis, l’évocation de mémée debout en robe longue grise, les deux seuls aïeux habillés en noir signifiant qu’ils l’ont déjà quitté, mais qu’il va les rejoindre par son suicide orchestré.

Cette “ôde à sa famille” qui participe à son livre des morts vaut des millions de bravos.

Chef d’oeuvre, oui; ôde à sa famille, pas que! Voyez-vous l’homme à l’hermine? Voyez-vous l’hermine blanche? L’animal ordinaire est reconnaissable sur les genoux de son pépé assis. Quelles interprétations iconographiques de l’hermine qui en fait mine de rien l’élément principal du tableau peuvent être approchées?

L’hermine est blanche et confirme l’hiver; il fait très froid. Le bout de sa queue garde un pinceau noir quelle que soit la saison, où alors est-ce la tête d’une deuxième hermine ou le pantalon de pépé?

L’hermine souffre; n’est-elle pas blessée à la tête par la canne violette?

Pour tous les amoureux de l’art, l’hermine n’est pas un animal ordinaire. L’hermine chamanique se manifeste à nous sous sa dimension spirituelle. A nous de faire impérativement attention aux messages que porte cet animal totem qui détient le pouvoir de communication; si ceux-ci ont contribué au suicidé Gruas, ceux-là à présent peuvent contribuer à notre développement personnel.

Tel le blanc, symbole de pureté et d’innocence de l’hermine, notre guide spirituel feu Gruas est prêt à tout pour conserver ce symbole même s’il faut y consacrer sa vie. IL est l’hermine qui décida de sacrifier sa vie plutôt que de se souiller devant ses chasseurs. La personnalité et la psychologie du peintre, et non pas du modèle peint comme de coutume, doivent transparaître dans sa représentation.

La pureté est donc un symbole fort que nous enseigne l’animal spirituel protecteur. La pureté peut se manifester à travers nos actes et nos paroles lorsque nous faisons constamment preuve d’honnêteté. “Plutôt la mort que la souillure”, ne serait-ce pas aussi la devise du créateur, prémonition d’un grand pardon pour sa famille ordinaire.

Mettre l’hermine au milieu de la famille passe-partout signifie qu’elle sera confrontée à des changements dans sa vie. Ils interviendront à des cycles où il faudra faire preuve de souplesse d’esprit.

En effet, l’hermine est elle-même sujette à des métamorphoses de fourrure. En automne, son pelage devient entièrement blanc, sauf sa queue qui garde sa couleur noire. Pendant la saison printanière, son pelage dorsal devient brun. Comme l’hermine, nous devons donc accepter que la vie nous change, mais nous devons penser à toujours garder notre originalité qui doit se faire respecter.

Par ailleurs, l’hermine nous renseigne que le créateur a pu être une personne particulièrement rigide avec les autres. Elle nous demande alors de réfléchir sur le sujet, afin de ne pas peindre une mauvaise image de soi-même.

Tel Gide, Gruas n’invite t-il pas surtout sa génération à se débarrasser de ce qui les aliène à commencer par la famille? Quand un peintre naît dans une famille, c’en est fini de cette famille. Ah, la famille! Nid de jalousies, de non-dits, de désaccords, où les médiocres majoritaires incapables de s’exprimer à vie gouvernent sans cesse le groupe en maintenant leurs existences banales de conformisme comme seule voie triomphante possible, excluant toute originalité, cherchant en groupe la faille exploitable pour détruire par tous les moyens l’excentrique créateur, parce que le jalousant de sa liberté et de son succes. Les fins de la famille morcelée sont lamentables.

La famille peinte en noir et blanc! Pépé et mémé sont habillées que de noirs. Le noir majoritaire en arrière fond est négation de la vie. Le noir est la couleur du mal et de l’opposition, de la magie et du mauvais présage. Le noir majoritaire est très apprécié chez le rebelle Gruas. Les feux follets apparaissent encore ici sous la forme d’une lueur pâle de couleur bleutée, flammèches flottant dans l’air à une faible hauteur au-dessus du sol. Si la lumière provient du blanc neige, elle est aussi plus ou moins diffuse dans le noir, vacillante et brève et provient de la canne violette phosphorescente, baguette magique pour passer dans son au-delà. Mourir dans le noir absence de lumière et sous le blanc somme de toutes les couleurs ou couleur à part entière: blanc neige monochrome. Seule la neige suggère la pureté, et par extension, l’innocence et la virginité, la sérénité et la paix… Les anges, ses messagers, sont également en blanc…Le blanc de la mort et du linceul rejoint ainsi le blanc de l’innocence et du berceau.

Les Celtes présentent l’animal spirituel comme un anthropomorphe, une créature qui se comporte comme des humains. L’hermine vit en société et organiserait même des enterrements sous forme de rituels à la mort d’un de leurs membres. Ne serait-ce pas alors la représentation prémonitoire du jour de l’enterrement du feu créateur qui s’est enseveli sous la neige le 08 décembre 2017 au Mont D’Arbois, emportant avec lui sa famille aimée de bonhommes de neige?

Sous un autre angle d’autres peuples, l’hermine était aussi peinte comme une espèce nuisible avec une salive toxique capable de paralyser un humain. Certaines légendes racontent qu’elle portait aussi malheur aux personnes qui la rencontraient pendant un voyage; cette mythologie-là sied bien encore au créateur préparant avant son suicide départ de son long voyage éternel. Feu Gruas emmène sa famille outre-tombe avec lui.

Fin-faim: Passons à présent aux choses sérieuses. Toute cette ”Famille à l’hermine”, n’est finalement qu’une bande de fantômes réclamant justice, mais surtout à boire et à rire joyeusement. Ces revenants nous souhaitent aussi un bon réveillon et un 1ier janvier en famille bien arrosés, de bons alcools, huitres, bûches et chocolats, blancs de préférence.

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First what is the best wishes of this family in mind?
For this big D-Day, I invite you to say goodbye to the year with “La Famille à l’ermine” and find her right away by listening to her best wishes.

The family with the knotted ermine shouts in chorus: “Best wishes for Health, Happiness, and Prosperity.” She whispers to us: “May the year 2023 give you the opportunity to achieve, according to your hopes, what you desire, both for yourself and for your ‘hated’ loved ones.”

Welcome rituals that flood us all on the web blablabla, blancblancblanc… (WhiteWhiteWhite…)

Some more serious fasting thoughts! If you have time to read!

What is the meaning of this fabulous scene from “The Family with an ermine”? Does the painting represent an observed reality, a dream or a rethought reality?

Is the family the real target of this almost black and white painting, or is it the ermine? Beyond the denunciation of the many culprits, the creator puts the family on the grill in a more or less precise or repressed way.

The family for this D-day is the hypersensitive J-point of a whole life, the place of passions, happiness, anxieties and repressions. My family home to “this family of madmen, to “this family of conformists who made me mad, a prisoner of the gaze of others.

Extraordinary premonitory portrait of the Neige family. Portrait painted by late Thierry Gruas ùùùùùù

Part One “Ode to the Family after my death” or psychological, polemical and satirical portrait or why not simply a desperate proof of love? A choice.

This ode to the family does not at first sight celebrate intimate and passionate feelings, no enthusiasm, love or joy on the smooth snow-headed balls, but seeks to account for the personality of late creator . Wouldn’t it rather be a painting of evil? of the malaise of the creative fire, the seal of gruassic spleen?

This portrait of an idealized ‘hated’ white group responds in this way to the expectations of himself, a sponsor in search of official post-mortem representation. Late creator seeks to leave to prosperity the image not only of its family, economic and social isolation, but of its affective isolation. The misunderstood has been carrying out his premeditated suicide for decades. Point of failure, point of success, in-fine, everything is snowy. White, everywhere, it says purity and innocence. Late crator endeavors to transmit the psychological qualities of its person just before its departure, not that of its envisioned family.

His Snow family portrait becomes a pretext, a means like any other to determine the painter’s attitude not only vis-à-vis the real world, society and art, but his choice of life, his intimacy, of his spleen. It is that photography now makes it possible to record a faithful image of the subject and, on the contrary, profoundly upsets the art of figuration. This “Family with an ermine” is not a photograph.

In the middle of the 19th century, the upper middle class, both actor and beneficiary of the industrial revolution, sought to leave to posterity the image of its economic and social success. At a time when photography was only a nascent technique and art, the family portrait was particularly fashionable in painting and did not escape the onslaught of modernity.

Precisely, “the Family with an ermine” breaks with the traditional illustration of the triumphant bourgeois family where the artist strives to reproduce or interpret their characteristic features and expressions, where he can question the role of the image and representation, where he can render the physical features of the family model, testify to his social belonging and his success.

None of this. To evoke his drama, his chaotic place in his family, to sum up his tumultuous life as an artist of doubts, by the brilliant expression of this anti-family opposition, this audacious painting, about seemingly simple, becomes a masterpiece. work of the end-of-life years of late rebel Gruas.

Late Gruas shows the full extent of his talent, especially in the absence of clothes worn by the bare characters, three are naked snowmen or snow children, all snow white. The definition of round shapes wanting to be heads is a source of light, stars that light up the blackboard.

Far from the bright colors, precious fabrics and laces of those depicted in the refined portraits of city dwellers, the figures are treated bare in white and black, perfectly restoring the psychological condition, the simplicity and the solidity of late snowy creator .
The round white faces of all the characters from children to the oldest evoked, the small size for the children, the cane for the seated grandpa, the evocation of grandma standing in a long gray dress, the only two ancestors dressed in black signifying that they have already left, but that he will join them through his orchestrated suicide.

This “ode to his family” which participates in his book of the dead is worth millions of bravos.

Masterpiece, yes; Ode to his family, not only! Do you see “the man with the ermine”? Do you see the white ermine? The ordinary animal is recognizable on the knees of its seated grandpa. What iconographic interpretations of the ermine which casually makes it the main element of the painting can be approached?

Ermine is white and confirms winter; it is very cold. The tip of his tail keeps a black brush regardless of the season, where then is the head of a second ermine or grandpa’s pants?

The ermine suffers; isn’t she hurt in the head by the purple cane?

For all art lovers, the ermine is no ordinary animal. The shamanic ermine manifests itself to us in its spiritual dimension. It is up to us to imperatively pay attention to the messages carried by this totem animal which holds the power of communication; if these contributed to the Gruas suicide, now these can contribute to our personal development.

As the white color, symbol of purity and innocence of the ermine, our fire spiritual guide Gruas is ready to do anything to preserve this symbol even if it means devoting his life to it. HE, Gruas, is the ermine who decided to sacrifice his life rather than defile himself in front of his hunters. The personality and psychology of the painter, and not of the model painted as usual, must show through in his representation.

Purity is therefore a strong symbol taught to us by the protective spirit animal. Purity can manifest through our actions and our words when we consistently demonstrate honesty. “Rather death than defilement”, wouldn’t that also be the motto of the creator, a premonition of a great forgiveness for his ordinary family.

Putting the ermine in the middle of the boilerplate family means that she will face changes in her life. They will intervene at cycles where it will be necessary to show flexibility of spirit.

Indeed, the ermine is itself subject to fur metamorphoses. In autumn, its coat becomes completely white, except for its tail which keeps its black color. During the spring season, its dorsal coat turns brown. Like the ermine, we must therefore accept that life changes us, but we must remember to always keep our originality, which must be respected.

Moreover, the ermine informs us that the creator may have been a particularly rigid person with others. She then asks us to reflect on the subject, so as not to paint a bad image of ourselves.

Like famous French writter late Gide, doesn’t Gruas above all invite his generation to get rid of what alienates them, starting with the family? When a painter is born into a family, that family is finished. Oh, the family! Nest of jealousies, of things left unsaid, of disagreements, where the mediocre majority incapable of expressing themselves for life constantly govern the group by maintaining their banal existences of conformism as the only possible triumphant way, excluding all originality, seeking in the group the fault exploitable to destroy by all means the eccentric creator, because jealous of his freedom and his success. The ends of the fragmented family are lamentable.

The family painted in black and white! Grandpa and grandma are dressed only in black. The majority black in the background is a negation of life. Black is the color of evil and opposition, magic and bad omen. The majority black is very popular with the rebel Gruas. The will-o’-the-wisps appear again here as a faint bluish-colored glow, sparks floating in the air at a low height above the ground. If the light comes from snow white, it is also more or less diffused in the dark, flickering and brief and comes from the phosphorescent violet cane, a magic wand to pass into its beyond. To die in the dark absence of light and under the white sum of all colors or color in its own right: monochrome snow white. Only the snow suggests purity, and by extension, innocence and virginity, serenity and peace … The angels, its messengers, are also in white … The white of death and the shroud thus joins the white of innocence and the cradle.

The Celts present the spirit animal as an anthropomorph, a creature that behaves like humans. The ermine lives in society and would even organize burials in the form of rituals when one of their members dies. Wouldn’t this then be the premonitory representation of the day of the burial of the creative fire who buried himself under the snow on December 08, 2017 at Mont D’Arbois, taking with him his beloved family of snowmen?

From another angle of other peoples, the ermine was also painted as a harmful species with poisonous saliva capable of paralyzing a human. Some legends say that she also brought bad luck to people who met her during a trip; this mythology still befits the creator preparing before his suicide the departure of his long eternal journey. Fire Gruas takes his family beyond the grave with him.

Happy end-hunger: Now let’s get down to more serious business. All this “Family with an ermine” is ultimately just a bunch of ghosts demanding justice, but above all to drink and laugh happily.

These returns souls also wish us a good New Year’s Eve and a well-watered January 1st with the family, good spirits, oysters, Christmas logs and chocolates, preferably white.

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