JOSÉPHINE FLASSEUR & SANDRINE HATTATA

L’hôtel de l’Industrie accueille du 12 au14 février 2016, Joséphine Flasseur et Sandrine Hattata, leurs univers artistiques accompagnés d’une exposition pluridisciplnaire construite partir d’une exposition pluridisciplinaire construite partir d’une expérience immersive conçue pour stimuler les sens.
Au programmeUne exposition «paintings & sculptures» créé par Sandrine HattataProjections cinématographiques des courts métrages de la cinaste Joséphine FlasselCiné concert – Live Music par Nicolas Baby, Sylvain Jacques et AppalacheExposition ouverte au publicVendredi 12 février 2016 dès 18hSamedi 13 février 2016 dès 15hDimanche 14 février 2016 de 14h 19hHôtel de L’industrie4, place Saint Germain des près75006 ParisJoséphine Flasseur & Sandrine Hattata sont heureuses de vous inviter découvrir la première édition de ce rendez-vous ouvert tous sur 3 jours.[CINEMA] JOSÉPHINE FLASSEUR – co-fondatrice et curatorJosephine Flasseur créé, de film en film, un univers singulier et rare. Une esthétique sensuelle, épidermique, lumineuse : Joséphine utilise le cinéma comme langage en construisant, plan par plan, un monde palpable entre rêve vaporeux et réalité brutale où l’enfance interroge l’âge adulte. Le désir y côtoie la peur et l’on pense ces premiers émois, ces sensations diffuses qui nous hanteront pour toujours. Son cinéma nous caresse l’âme en nous faisant plonger dans l’obscurité de l’écran. Retrouvez plus d’informations sur www.josephineflasseur.fr[ART EXHIBITION] SANDRINE HATTATA – co-fondatrice et curatorSandrine travaille la matière sous toutes ses formes, en souplesse ou au contraire avec force. La transparence liquide des couleurs qu’elle distille viennent systématiquement s’opposer la rudesse et l’épaisseur des couches qu’elle superpose sur la toile. Comme pour faire écho au thème qui lui est cher, l’enfance oubliée, blessée, ses tableaux re-dessinent encore et encore les images d’un conte que l’on connaitraient si bien mais qui nous apparaissent ici, nimbées d’un voile de couleurs éclatantes, comme une déformation du souvenir par le temps qui passe et dont ilne reste que l’essentiel, âpre et crue. Retrouvez plus d’informations sur www.hattata.com