Igor Bitman : Le Fil d'Ariane

Igor Bitman : Le Fil d’Ariane

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Francis Barlier et Tjeri Liu sont heureux de vous présenter les nouvelles oeuvres de l’artiste Igor Bitman, perles cueillies sur le chemin vers la beauté immuable de cet audacieux aventurier, armé de son fil d’Ariane.

LE FIL d’ARIANE
Igor Bitman, peintre libre, merveilleusement virtuose, nous invite, Galerie Francis Barlier, à un voyage.

Les tableaux choisis ont été créés entre la fin du millénaire qui a banni la peinture et le début de ce siècle qui en recherche secrètement le sens. Le parcours de ce périple a pris pour thème Ariane… la femme gardienne qui tient le fil des exploits de la vie… portraits, nus, paysages, pleins de silence et de mystère. Images de tout ce qui résonne dans les profondeurs de la mémoire, de ce qui est aimé et ne peut se peindre qu’avec grâce.

Aude de Kerros

Quelques citations des critiques
Igor Bitman recherche la permanence classique au travers d’un effort de volonté et de connaissance, pour s’opposer à la rapidité spectaculaire.

Le mysticisme qui se dégage de l’œuvre de Bitman n’a pas d’idéologie, c’est le mysticisme de l’être. L’être existe parce qu’il se peint, sinon on ne verrait pas qu’il existe. Il se déroulerait sans arrêt dans l’indifférence des contours.

Max Fullenbaum, 1996

Sa peinture, huile, pastel à l’huile ou encaustique est généreuse.

Par un lent travail de superposition de matières, l’harmonie des couleurs, les jeux d’ombre et lumière, l’artiste crée le mystère.

Françoise Coffrant, 2015

Pour Igor Bitman la peinture est une langue commune qui, quoique au-delà des mots, s’apprend en conversant avec les meilleurs.

“Juger de la beauté c’est deviner”, disait Albrecht Dürer.

C’est le mystère de l’être, toujours unique, de ce qui est irréductiblement différent.

La dimension transcendante de cette beauté attachée à la personne fait que l’on ne peut que s’en rapprocher, sans jamais l’atteindre, encore moins la posséder.

Aude de Kerros, 2012

La forme est signifiante. Peut-être préexiste-t-elle à nos regards interrogateurs, comme le seraient aussi l’harmonie et la beauté.

Le mystère ne s’invente pas. Il se montre.

Rien ne nuit à la résonance de l’harmonie jusqu’au silence. Le temps est suspendu.

Emmanuelle Tenailleau, 2005

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