Echos imaginaires

On ouvre les portes de la fantaisie et du rêve du 22 juin au 31 juillet !

Les frontières entre le réel et l’imaginaire s’estompent pour laisser place à l’évasion entre peintures à l’huile et sculptures en grès.

Thierry Van Quickenborne présente des oeuvres qui bousculent notre interprétation de la réalité tant il mêle des éléments réalistes dans un contexte issu de son imagination.

“Reflet de notre propre existence, chaque objet porte en lui une parcelle énigmatique. Vieilli, il devient témoignage historique, ce qui ne lève que partiellement le voile sur l’énigme. La juxtaposition d’éléments anciens et modernes signifie que l’espace de la toile est aussi du temps. Fond et formes sont en perpétuelle interaction. L’architecture est formelle et symbolique. Le “réalisme” est un moyen comme un autre de faire entrer le spectateur dans la toile tout en lui laissant des issues.”

Les sculptures de Sandrine Corbin émergent du sol, s’élèvent. Les personnages aux formes abstraites laissent l’esprit du spectateur vagabonder dans l’univers qu’il s’imagine.

“Sculpter, modeler les attitudes sans jamais les figer, exprimer une émotion, un sentiment, une expression, une intention avec ces lignes épurées et ces volumes en mouvement. Sans anatomie superficielle,mais sans masquer les différences (elles sont essentielles) toutes les différences, elles s’invitent parfois. Suggérer, laisser place à l’imagination.”