DépaysementS. Une polysémie du dépaysement.

DépaysementS. Une polysémie du dépaysement.

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«J’ai tendu des chaînes d’or d’étoile étoile, et je danse »* D’un côté, l’autre : au Nord, voyage et aventure sous des ciels étoilés en « touriste naïf , retiré de nos horreurs économiques »*. Au Sud, exil-espoir et déchirure du déracinement.

Une installation en rébus de Mary-Ann Beall (« de rebus quae geruntur » : « propos de ce qui se passe »). Sous une apparente tranquillité poétique et joyeuse, des éléments (ardoises chiffrées, pages financières…), de petits textes, des poèmes, viennent déranger cette première impression et ouvrir d’autres significations. Ils sont l pour donner au visiteur un sentiment d’étrangeté, avec en creux, l’expérience du dépaysement, subi, du déracinement, vécu, mais aussi la désinvolture du monde financier, au détriment de l’humain. Son intention est d’évoquer chez le spectateur une impression d’insouciance, et, y regarder de plus près, un questionnement sur l’état du monde. L’artiste invite choisir une des “cartes postales” disposition sur place, et lui écrire ce qui résonne en lui.

(*Arthur Rimbaud)

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